L'UE s'engagerait sur "un chemin complètement erroné" si elle admettait "des pays non européens" en son sein, a ajouté M. Strache.
"Ce serait la fin de l'Union européenne. Ce serait le début d'une Union euro-asiatico-africaine, qui irait totalement à l'encontre du projet de paix en Europe. En conséquence il ne faut pas le permettre", a-t-il dit.
Selon le traité de Lisbonne, entré en vigueur en décembre 2009, un référendum peut être organisé dans l'ensemble de l'Europe si un million de personnes dans "un nombre conséquent de pays membres" en font la demande.
Mais le traité ne précise pas ce nombre, a relevé le dirigeant d'extrême droite.
Étaient présents à la réunion Bruno Valkeniers et Filip de Winter du Vlaams Belang (Belgique), Fiorello Provera, député européen de la Ligne du Nord (Italie), le chef du Parti national slovaque (Slovaquie) Jan Slota, ainsi que Kent Ekeroth, des Démocrates de Suède (SD) et Morten Messerschmidt du Parti du peuple danois (PPD).
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