Prié d'évaluer l'expérience des élections en un seul jour, M. Baroud a préféré laisser au public le soin de le faire, « même s'il y a eu des erreurs ». « Mais, a-t-il poursuivi, j'ai la conviction qu'entre la réussite des élections en un seul jour et la bousculade - tout en comprenant parfaitement les souffrances du public -, il est indéniable que l'expérience a réussi, et qu'il sera possible de traiter le problème de manière radicale, c'est-à-dire lever les obstacles financiers. »
Interrogé sur les urnes qui n'auraient pas été scellées à Zahlé, M. Baroud a rappelé que « le rôle du ministère de l'Intérieur se termine dès que les chefs de bureaux reçoivent les urnes, sachant qu'une nouvelle étape commence devant les commissions de dépouillement, qui sont assez équipées pour traiter n'importe quel problème ». Il a ajouté que « le ministère de l'Intérieur n'annonce que les résultats qui lui parviennent de ces commissions ».
À la question de savoir comment se présentait l'avenir à la lumière des scores de la majorité et de l'opposition, M. Baroud a refusé de faire des commentaires sur les forces politiques. Il a cependant souligné que « nous sommes à l'aube d'une nouvelle étape, et il semble que les forces politiques contribueront à créer une atmosphère de partenariat, tout comme elles ont contribué à faire réussir cette journée électorale ». « Personne ne perd au Liban, a-t-il poursuivi. Tout le monde est partenaire, et le système constitutionnel et politique est régi par ces considérations qui seront au centre d'un débat dans les semaines à venir. »
Interrogé sur les urnes qui n'auraient pas été scellées à Zahlé, M. Baroud a rappelé que « le rôle du ministère de l'Intérieur se termine dès que les chefs de bureaux reçoivent les urnes, sachant qu'une nouvelle étape commence devant les commissions de dépouillement, qui sont assez équipées pour traiter n'importe quel problème ». Il a ajouté que « le ministère de l'Intérieur n'annonce que les résultats qui lui parviennent de ces commissions ».
À la question de savoir comment se présentait l'avenir à la lumière des scores de la majorité et de l'opposition, M. Baroud a refusé de faire des commentaires sur les forces politiques. Il a cependant souligné que « nous sommes à l'aube d'une nouvelle étape, et il semble que les forces politiques contribueront à créer une atmosphère de partenariat, tout comme elles ont contribué à faire réussir cette journée électorale ». « Personne ne perd au Liban, a-t-il poursuivi. Tout le monde est partenaire, et le système constitutionnel et politique est régi par ces considérations qui seront au centre d'un débat dans les semaines à venir. »
Prié d'évaluer l'expérience des élections en un seul jour, M. Baroud a préféré laisser au public le soin de le faire, « même s'il y a eu des erreurs ». « Mais, a-t-il poursuivi, j'ai la conviction qu'entre la réussite des élections en un seul jour et la bousculade - tout en comprenant...
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