Le ministre de l’Intérieur, Élias Murr, a demandé au mohafez de la Békaa, Antoine Sleimane, de donner les instructions nécessaires aux caïmacams et aux moukhtars de la région pour s’assurer de l’absence de cultures de pavot, cannabis et tout autre stupéfiant. La circulaire précise que tout agriculteur, régisseur ou métayer qui contreviendrait à cette interdiction est passible d’une peine de travaux forcés à perpétuité, assortie d’une amende de 25 à 100 millions de livres libanaises.
Le ministre de l’Intérieur, Élias Murr, a demandé au mohafez de la Békaa, Antoine Sleimane, de donner les instructions nécessaires aux caïmacams et aux moukhtars de la région pour s’assurer de l’absence de cultures de pavot, cannabis et tout autre stupéfiant. La circulaire précise que tout agriculteur, régisseur ou métayer qui contreviendrait à cette interdiction est passible...
Les plus commentés
Les chiites boycottent le « sommet spirituel » de Bkerké et s'en prennent à l'Église
« Nasrallah fait comme Hafez el-Assad » : entre les chrétiens et le Hezbollah, le fossé se creuse
Mohammad Raad reçoit une volée de bois vert après sa sortie sur les « Libanais qui vont à la plage »