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Environnement - Urbanisme

La privatisation continue de menacer les derniers espaces publics du littoral libanais

Une villa appartenant à une journaliste libano-américaine de renom, située sur la côte de Kfar Abida dans le nord du Liban, a conduit à un litige juridique avec des activistes cherchant à protéger l’accès public à la mer.

La privatisation continue de menacer les derniers espaces publics du littoral libanais

Une zone côtière clôturée pour le développement près d’une grotte marine dans le village de Amchit, au nord du Liban. Joseph Eid/AFP

Le retour des journées à la plage et des couchers de soleil sur la côte libanaise révèle l’empiètement croissant de la propriété privée sur l’accès public à la Méditerranée. Alors que et que les gens se pressent dans les rares petits espaces...
Le retour des journées à la plage et des couchers de soleil sur la côte libanaise révèle l’empiètement croissant de la propriété privée sur l’accès public à la Méditerranée. Alors que et que les gens se pressent dans les rares petits espaces...
commentaires (5)

Au delà de l'égoïsme d'avoir un accès privé et privatisé à la méditerranée depuis chez soi, il y a aussi la montée d'adrénaline d'être capable de s'imposer à une société, à un peuple, à un Etat, à une ONG et à la terre entière et de se vanter devant les copines et les copains qu'elle est quelqu'un au Liban, et qu'elle respectée dans les hauts lieux. Et pourquoi diable l'OLJ cachet-il son nom, une journaliste, droit de savoir et liberté de presse, une combinaison qui existent pour ce genre de situation.

Céleste

16 h 16, le 03 juillet 2024

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Commentaires (5)

  • Au delà de l'égoïsme d'avoir un accès privé et privatisé à la méditerranée depuis chez soi, il y a aussi la montée d'adrénaline d'être capable de s'imposer à une société, à un peuple, à un Etat, à une ONG et à la terre entière et de se vanter devant les copines et les copains qu'elle est quelqu'un au Liban, et qu'elle respectée dans les hauts lieux. Et pourquoi diable l'OLJ cachet-il son nom, une journaliste, droit de savoir et liberté de presse, une combinaison qui existent pour ce genre de situation.

    Céleste

    16 h 16, le 03 juillet 2024

  • Si cela ne concernait que quelques villas isolees.... Allez plutot enqueter du cote des centres "balneaires" qui bloquent a leur usage exclusif des centaines de metres de plage, non pas avec des cactus, mais avec des murs en beton en prolongement de leurs immeubles blockhaus de plusieurs etages pompeusement intitules "chalets. Le tout avec la benediction des pouvoirs publics et la protection des forces dites "de l'ordre". L'argent fait des miracles.

    Michel Trad

    18 h 49, le 02 juillet 2024

  • - DES VOLEURS LE FESTIVAL, - BAT SON PLEIN AU LITTORAL, - OU LEGALEMENT L,AFFAIRE, - NE MENAGEA NULLE PIERRE. - QUAND A TOUT PLAIGNANT MALIN, - IL N,A QU,A PRENDRE SON BAIN, - SANS PAYER DANS SA BAIGNOIRE. - SANS CAUSER AUCUNE HISTOIRE. - ILS ONT ACHETE D,AVANCE, - DES DIRIGEANTS LE SILENCE. = L,EMPIETEMENT DU LITTORAL, - N,EST UN CRIME RIEN QUE PENAL. - *IL FAUT* : - RENDRE AU PUBLIC LE LITTORAL. - ET DES MAIRIES PUNIR LE MAL.

    ON NE ME DECONNECTE PAS. JE VAIS LE FAIRE

    17 h 45, le 02 juillet 2024

  • "Ce que nous aimons chez les riches c'est qu'ils ont de l'argent" Labiche. Il y a chez l'Homme, même chez le plus éduqués, une forme de rapacité inouïe, teintée d'arrogance et de furieux caprices. Il y a un entre soi tel dans cette kakistocratie mondialiste, qui exerce une ploutocratie sous couvert de démocrassouille. Ils ne se rendent parfois même pas compte de leurs agissements, journalistes ide. En les laissant faire ils parviendront à confisquer, ici comme ailleurs, nos économies, nos libertés et le reste, toujours bien-sûr au nom de la démocratie et de ses prétendues valeurs républicaines

    Nicolas ZAHAR

    17 h 09, le 02 juillet 2024

  • Ça paie bien le journalisme donc. Vous recrutez?

    Gros Gnon

    12 h 59, le 02 juillet 2024

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