![Vingt-quatre heures à Dora : chronique de la survie ordinaire au Liban Vingt-quatre heures à Dora : chronique de la survie ordinaire au Liban](https://s.lorientlejour.com/storage/attachments/1419/2024_0610_18381200_671402.jpg/r/800/2024_0610_18381200_671402.jpg)
Une femme marche sous le pont de Dora, à l'entrée nord de Beyrouth, où des déchets s'accumulent. Photo João Sousa
Lieu de circulation chaotique et de brassage culturel exotique, quartier en tension entre Libanais et Syriens, Dora est le microcosme d’un Liban populaire où chacun se bat pour subsister.
OLJ / Par Emmanuel HADDAD, le 28 juin 2024 à 10h20
Une femme marche sous le pont de Dora, à l'entrée nord de Beyrouth, où des déchets s'accumulent. Photo João Sousa
Magnifique reportage d’une réalité libanaise quotidienne dans ces quartiers où la détresse des gens est terrible . La débrouille et l’école de la vie pour survivre
Magnifique reportage d’une réalité libanaise quotidienne dans ces quartiers où la détresse des gens est terrible . La débrouille et l’école de la vie pour survivre
11 h 06, le 28 juin 2024