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Société - REPORTAGE

Vingt-quatre heures à Dora : chronique de la survie ordinaire au Liban

Lieu de circulation chaotique et de brassage culturel exotique, quartier en tension entre Libanais et Syriens, Dora est le microcosme d’un Liban populaire où chacun se bat pour subsister. 

Vingt-quatre heures à Dora : chronique de la survie ordinaire au Liban

Une femme marche sous le pont de Dora, à l'entrée nord de Beyrouth, où des déchets s'accumulent. Photo João Sousa

Sous le store vert du café Abou Élias, des hommes seuls boivent leur petit noir dans un gobelet en carton, enchaînent les cigarettes et lèvent de temps à autre les yeux de l’écran de leur téléphone pour contempler le vacarme du rond-point Dora. En...
Sous le store vert du café Abou Élias, des hommes seuls boivent leur petit noir dans un gobelet en carton, enchaînent les cigarettes et lèvent de temps à autre les yeux de l’écran de leur téléphone pour contempler le vacarme du rond-point Dora. En...
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Magnifique reportage d’une réalité libanaise quotidienne dans ces quartiers où la détresse des gens est terrible . La débrouille et l’école de la vie pour survivre

Noha Baz

11 h 06, le 28 juin 2024

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Commentaires (1)

  • Magnifique reportage d’une réalité libanaise quotidienne dans ces quartiers où la détresse des gens est terrible . La débrouille et l’école de la vie pour survivre

    Noha Baz

    11 h 06, le 28 juin 2024

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