L'émissaire américain, Amos Hochstein, lors d'un point de presse à Beyrouth, après son entretien avec le président du Parlement, Nabih Berry, à Aïn el-Tiné, mardi 18 juin 2024. Mohammad Azakir/Reuters
« Le conflit entre Israël et le Hezbollah a assez duré. Il est dans l'intérêt de tous de le résoudre rapidement et par la diplomatie, c'est à la fois réalisable et urgent. La situation est dangereuse. » Sans détour, Amos Hochstein a fait passer ce...
« Le conflit entre Israël et le Hezbollah a assez duré. Il est dans l'intérêt de tous de le résoudre rapidement et par la diplomatie, c'est à la fois réalisable et urgent. La situation est dangereuse. » Sans détour, Amos Hochstein a fait passer ce...
Comme le décrit l'éditorialiste : ""Le médiateur US (plutôt américano-israélien ou bien alors israélo-américain, on vous laisse le choix) est la coqueluche des dirigeants libanais, qui lui doivent déjà un accord sur la frontière maritime avec l’État hébreu"", il adonc à son actif un "accord maritime frontalier". Mais comme on me laisse le choix, il est bientôt libanais, tant de malice dans le geste, et l'index en pointe. Il a un côté libanais Monsieur Hochstein, sa manière d'être, allemand comme son nom l'indique, (Hautepierre) comme l'autre américano-israélien, il sera le Kissinger du pauvre.
20 h 20, le 19 juin 2024