Une femme passant devant un portrait du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, le 3 juin 2024, dans le quartier de Nabaa, en banlieue de Beyrouth. Photo Matthieu Karam
« Nous sommes nés, mes frères et moi, dans l’un des quartiers de la ceinture de misère. Dans un quartier de pauvres dans l’est de Beyrouth du nom de Charchabouk, près de la Quarantaine (...) Il y avait des Libanais et des Palestiniens. Tous pauvres....
« Nous sommes nés, mes frères et moi, dans l’un des quartiers de la ceinture de misère. Dans un quartier de pauvres dans l’est de Beyrouth du nom de Charchabouk, près de la Quarantaine (...) Il y avait des Libanais et des Palestiniens. Tous pauvres....
Il en est qui sont aussi proche de puissances étrangères que de leur "communauté" au point de constituer un État dans l'Etat, plutôt que d'envisager l'intérêt supérieur du Liban et des Libanais. On peut, et on doit, se méfier du " Grand Israël", or il paraît que certaines postures "anti sionistes" masquent assez mal une sorte d'alliance objective avec "l'ennemi". A trop se revendiquer d' une "résistance" illusoire on finit par s'interroger sur la collaboration effective dont les conséquences sont l'instabilité du pays, sa ruine, l'exode de sa population particulièrement chrétienne et l'avenir
19 h 47, le 13 juin 2024