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Lifestyle - Le Weekender

Un petit renne qui cartonne, Vernis Rouge et les souvenirs libanais de Pivot : découvrez le Weekender

Nous vous parlons, aussi, de l’étrange relation historique entre le Liban et la langue de Molière, de Depardieu et de Lollars.

Un petit renne qui cartonne, Vernis Rouge et les souvenirs libanais de Pivot : découvrez le Weekender

Illustration Jaimee-Lee Haddad / L'Orient-Le Jour

Dans Le Weekender, L'Orient-Le Jour vous propose une sélection d'articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter (un peu) d'une actualité souvent trop sombre ou encore découvrir de belles histoires libanaises.

« Pourriez pas parler français comme tout le monde ? »...

Charles de Gaulle, chef des Forces françaises libres, s’entretient avec le président libanais Alfred Naccache à Beyrouth, le 10 juin 1941. Archives AFP

« Non, non ! Je vais vous le dire dans mon arabe le plus classique et le plus pur », lance Pierre Gemayel, avant d’enchaîner, en français : « C’est impossible ! » Cette réplique célèbre du fondateur du parti Kataëb, livrée en direct à la télévision dans les années soixante-dix, et qui fit rire beaucoup de téléspectateurs, raconte bien l’étrange relation historique entre le Liban et la langue de Molière. Pourquoi étrange ? Élie Fayad vous explique tout.

Quand « le » Pivot des lettres françaises faisait la dictée aux Libanais

Bernard Pivot, le 29 octobre 2012, à la Résidence des Pins, à l’invitation du Salon du livre de Beyrouth. Photo Nasser Traboulsi

Pour beaucoup de Libanais, Bernard Pivot, disparu le 6 mai dernier, est associé à trois souvenirs particuliers : ses dictées, dont certaines ont eu lieu au Liban ; mais aussi, et peut-être surtout, cette émission de 1989, lors de laquelle il avait accueilli Joseph Saadé qui y confessait ses crimes de guerre à l’occasion de la sortie de son livre Victime ou bourreau ; puis, en 1994, un Bouillon de Culture sur l’esplanade du musée Sursock. Zéna Zalzal revient sur ces souvenirs libanais.

« Baby Reindeer », la série qui cartonne autant qu'elle dérange

Donny et Martha dans la série « Baby Reindeer ». Photo Netflix

Dans la mini-série Netflix « Baby Reindeer », le comique britannique Richard Gadd détaille, jusqu’au bout de l’horreur, le harcèlement qu’il a subi entre 2015 et 2018 par une femme dont il dissimule soigneusement l’identité. Gilles Khoury vous explique pourquoi cette série est un succès totalement imprévu.

Paul Auster, le hasard et la nécessité

Paul Auster. JEFF PACHOUD / AFP

Mettre de son côté le hasard comme faisant partie intégrante du quotidien, faire de l’imprévu un des rouages de toute mécanique en apparence bien huilée, c’est en fait se mettre du côté de la vie. Il n’y a pas de fortuité, semble dire Paul Auster, mais uniquement des personnages disponibles. Découvrez le texte d’Anthony Karam, pour L’Orient Littéraire, en hommage à Paul Auster, décédé le 30 avril.

Quand Vernis Rouge reprend Dalida pour L'Orient-Le Jour


Pour L’Orient-Le Jour, Vernis rouge change radicalement de registre ! Après avoir fait le buzz lors de l'édition française de The Voice en remettant au goût du jour Bande organisée de Jul, et son « subtil » phrasé -« Nique ta mère sur la Canebière. Nique tes morts sur le Vieux-Port »-, la chanteuse franco-libanaise reprend, pour nous, Dalida. À découvrir ici

Raphaëlle Bacqué : Il y a un Depardieu pour chacun, l’immense acteur ou l’ignoble violeur

Depardieu essayant d'embrasser Isabelle Huppert lors du photocall de « Valley of Love » à Cannes le 22 mai 2015. Photo Yves Herman/Reuters

Accusé d’avoir violé et agressé sexuellement plusieurs femmes, Gérard Depardieu sera jugé en octobre 2024 à Paris. Raphaëlle Bacqué, grand reporter au Monde et coautrice de Depardieu : une affaire très française, livre, lors d’un entretien avec Karl Richa, les détails d’une inéluctable déchéance publique.

« Lollars », « éligibles », « illégitimes »... les vrais enjeux de la classification des dépôts

Le siège de la Banque du Liban (BDL), à Beyrouth. Photo Mohammad Yassine

Le sujet est plus lourd, mais abordé ici avec didactisme : Au fur et à mesure de la crise, au pays du cèdre, et des différents plans avortés successifs, les classifications et descriptions pour évoquer les dépôts bloqués dans les banques libanaises se sont multipliées. Mounir Younes démystifie et fait le tri.

Quand Sacha Dahdouh devient une « vipère »

Sacha Dahdouh, une actrice qui s'impose de plus en plus. Photo DR

Interpréter un personnage de super vilaine, voilà bien une première pour l’actrice Sacha Dahdouh, qui incarne sur le petit écran la très exécrable et non moins charismatique Cyrine, alias « Cyrine la vipère », dans le nouveau feuilleton de Shahid, Loobat Hob. Béchara Maroun vous dit tout.

Dans Le Weekender, L'Orient-Le Jour vous propose une sélection d'articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter (un peu) d'une actualité souvent trop sombre ou encore découvrir de belles histoires libanaises.« Pourriez pas parler français comme tout le monde ? »...Charles de Gaulle, chef des Forces françaises libres, s’entretient avec le président libanais...
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