La plage devant la « Lokanda rouge » à el-Max, près d’Alexandrie, en Égypte, et le port de Dekheila en arrière-plan, le 6 avril 2024. Photo Martin Dumas Primbault
La « Venise d’Égypte » n’est plus que l’ombre d’elle-même. Le long de l’étroit canal qui sépare le village d’el-Max en deux, à l’extrémité ouest d’Alexandrie, la plupart des habitations traditionnelles de pêcheurs ont disparu. Seuls demeurent...
La « Venise d’Égypte » n’est plus que l’ombre d’elle-même. Le long de l’étroit canal qui sépare le village d’el-Max en deux, à l’extrémité ouest d’Alexandrie, la plupart des habitations traditionnelles de pêcheurs ont disparu. Seuls demeurent...
Honteux.. il aurait été tellement plus bénéfique pour tous : pêcheurs (et touristes) d aider financièrement les pêcheurs pour la réhabilitation de leurs maisons..A l heure ou les politiques se veulent eco responsables... un non sensL egypte pays touristiques à perdu des visiteurs qui auraient pu rentabiliser largement les frais occasionnés pour la réhabilitation de ce village...Très triste de ce gâchis et pour les pêcheurs et leurs familles
11 h 08, le 05 mai 2024